Changer mon rythme de vie : vivons à l’espagnole

Canicules, nuits tropicales... notre corps fatigue face à la répétition des vagues de chaleur. Pour préserver notre santé et celle de nos proches, il est temps de changer nos habitudes. Horaires décalés, sieste, solidarité : inspirons-nous de nos voisins du sud pour mieux vivre l'été !

Pour quoi faire ?

Le changement climatique met nos organismes à rude épreuve. Perturbation du sommeil, coups de chaleur, irritabilité... les risques pèsent sur nous, mais aussi sur les animaux qui nous entourent.

Adapter notre rythme de vie n'est pas un luxe, c'est une nécessité pour :

  • Protéger notre santé : éviter la surchauffe corporelle et la déshydratation.

  • Protéger les plus fragiles : les personnes âgées, les jeunes enfants, les femmes enceintes ou les travailleurs en extérieur sont les premiers touchés.

  • Garder le moral : mieux dormir et moins subir la chaleur aide à rester serein.

Face à la surchauffe urbaine, la meilleure résistance est l'adaptation : vivons au ralenti quand le soleil est au zénith !

Ce que je peux faire :

Au quotidien, j'adopte de nouveaux réflexes pour moi et mon entourage.

Je vis en décalé :

  • J'adopte le rythme "à l'espagnole" : je m'active tôt le matin ou tard le soir. Je fais une pause ou une sieste aux heures les plus chaudes.

  • J'adapte mon travail : si possible, je demande à télétravailler (si mon logement est plus frais que le bureau) ou je modifie mes horaires.

  • Je change ma pratique sportive : je privilégie les sports aquatiques. Je ne fais pas de sport intense quand il fait plus de 32°C.

Je prends soin de mon corps :

  • Je m'hydrate : je bois au moins 2 litres d'eau par jour et je mange des fruits et légumes gorgés d'eau.

  • Je m'habille léger : je porte des vêtements amples, de couleurs claires et en matières naturelles (coton, lin) plutôt que synthétiques.

Je suis solidaire :

  • Je veille sur les autres : je prends des nouvelles de mes voisins âgés, de ma famille ou de mes collègues.

  • Je protège les animaux : eux aussi souffrent ! Je m'assure qu'ils ont toujours de l'eau fraîche et un accès à l'ombre.

  • J'aide les plus isolés : je propose mon aide en les orientant vers les "Oasis solidaires" (locaux frais ouverts aux plus vulnérables).

Ce que la Métropole fait :

  • L'accès à la nature : elle valorise les sites de fraîcheur naturels (forêts, cours d'eau) accessibles en transports en commun ou à vélo pour que chacun puisse s'évader au frais sans voiture.

  • La prévention : en lien avec les communes et le département, elle diffuse les bons gestes en cas d'alerte canicule.

Outils et ressources :